La phase 1 du projet « Presse Verte » 1ère édition au Bénin a eu lieu le lundi 22 juin 2020 sous la houlette de la Directrice du groupe de presse « Le Fleuron » Cornellie Ayité. Appuyés techniquement par la Direction Générale des Eaux et Forêts et l’Ong Sos Biodiversity, les professionnels des médias ont mis en terre plusieurs plants de différentes espèces sur le terre-plein central allant du Ceg le Nokoué au stade de l’amitié de Cotonou.

La lutte contre le réchauffement climatique est une affaire de tous. Les journalistes béninois ont sacrifié à la tradition le lundi 22 juin 2020. Ils ont mis en terre une centaine de plants de variété différente. L’initiative émane du projet « Presse Verte » pensé par le groupe de presse « Le Fleuron » avec à sa tête Cornellie Ayité. Le projet vise essentiellement à verdir toutes les grandes villes du Bénin afin de mieux faire face au problème de réchauffement climatique qui laisse perplexe plus d’un en ce 21ème siècle. Selon la Capitaine Philippe Christelle, responsable communale de la section des eaux, forêts et chasse de Cotonou, la presse verte est et reste un événement louable. Car malgré la forte pluie qui descendait sur Cotonou, les journalistes n’ont pas lâché prise. Ils ont reboisé de bout en bout l’espace identifié. Pour la Directrice Cornellie Ayité, au-delà de la sensibilisation, les journalistes se doivent également de participer à la lutte contre la désertification. À l’en croire, le samedi 27 juin la phase 2 du projet « Presse Verte » sera active avec la mise en terre de 1000 plants de cocotiers à la plage de Togbin toujours par les journalistes. Le Président de l’Ong Sos Biodiversity, n’a pas manqué de saluer le geste avant de faire remarquer les multiples bienfaits de reboisement pour une nation d’une part et la vertu des plantes d’autre part.

Daniel Ayelodjo Kokou DASSI (Coll)