Les travaux du colloque international organisé en hommage au professeur Gabriel Coovi Boko se sont déroulés  du  mercredi 21 au vendredi 23 Octobre 2020. Cette rencontre scientifique  organisée par le Département des Sciences de l’Education et de la Formation (Dsef) à travers le Laboratoire d’Expertise et de Recherche en Education, Formation et Orientation (Laerefor) a comblé les attentes de tous.

« Les sciences de l’Education et de la formation à l’école africaine : regards pluridisciplinaires ». C’est sous ce  thème que le Colloque international en hommage au professeur Gabriel s’était tenu.  En effet, durant trois jours,  d’éminents chercheurs du monde universitaire et surtout des sciences de l’éducation venus du Bénin, du Burkina-Faso, de la Côte ‘d’Ivoire, du Mali, du Niger, du Nigeria, du Tchad, et du Togo ont eu à confronter les idées autour de ce thème.  Au cours des travaux, ces universitaires ont présenté 120 communications en relation avec les sciences de l’éducation et de la formation. Lors de la cérémonie qui a consacré la fin de ce colloque,  le professeur Patrick Houessou, président du comité d’organisation a exprimé toute sa satisfaction pour le bon déroulement des activités. Quant au professeur Gabriel Coovi Boko, cette manifestation organisée par le Laboratoire d’Expertise et de Recherche en Education, Formation et Orientation (Laerefor) pour célébrer son départ à la retraite est un succès sur tous les plans. A l’en croire, il est désormais à la retraite, mais sa plume restera toujours active car, il écrira toujours pour l’évolution des sciences de l’éducation et de la formation. A ce titre, il a promis d’écrire un ouvrage sur la grossesse des jumeaux, car cet ouvrage, il l’a promis à la communauté universitaire des pays de la sous-région. Donc, son départ à la retraite ne l’empêchera pas de tenir cette promesse. De plus, il a promis d’offrir au département des sciences de l’éducation et de la formation une centaine de ses ouvrages que les étudiants pourront gracieusement consulter. Il est disposé à renouveler au besoin le stock.

Osias Satingo